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Un anniversaire...Cette histoire s'est passée il y a quelques années, au cours d'une soirée d'été où nous n'étions que tous les deux. Nous avions profité d'être invité à l?anniversaire de Marie, la meilleure amie de Lucile, pour laisser les enfants chez les grands-parents. En effet, elle habitait à un peu plus de trois heures de route de chez nous, et nous avions décidé de profiter de notre week-end tous les deux. Il était également convenu que nous restions dormir sur place, même si le logement, d'après les dires de Marie, n'était pas très grand.Pendant le trajet, Lucile et moi étions d'humeur plus que coquine, et les sous-entendus se mêlaient constamment aux caresses quasi intimes. Il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que nous nous arrêtions sur le bord de la route pour assouvir notre désir l'un pour l'autre. Mais, l'heure tardive de notre départ nous a privé de cette occasion. Marie avait organisé la soirée chez elle avec ses amis. L'appartement n'était effectivement pas très grand et nous étions relativement «*serrés*» les uns aux autres. Pourtant, même si nous ne connaissions pas les invités, cette promiscuité et l'alcool qui «*aidait*» à désinhiber et à délier les langues firent que la soirée se déroula dans une ambiance fort sympathique. Petit à petit, les invités sont partis, jusqu?à ce qu?il ne reste plus que Marie et Nicolas, son copain du moment, ainsi que Antoine un de ses amis qui, comme nous, demeurait assez loin.Nous étions un peu trop alcoolisés pour nous soucier de la situation, et n'avons pas vraiment réalisé que l'appartement n?avait qu?une seule petite chambre. Après avoir encore vidé quelques verres, le temps de s'organiser pour la nuit, Marie et Nicolas sont allés se coucher. Nous avons préparé le canapé clic-clac pour nous et un matelas gonflable pour Antoine. C'est là que nous avons constaté que la chose n'allait pas vraiment être aisée, la disposition de la pièce et des meubles ne nous permettant pas beaucoup d'espace. Finalement, nous n'avons pu disposer le matelas qu'à quelques centimètres du petit clic-clac où Lucile et moi allions dormir.Une fois installés, nous sommes allés à tour de rôle dans la salle de bain pour nous rafraîchir un peu. Antoine et moi sommes restés en boxer pour dormir, la chaleur de la nuit d'été ne nous permettant pas de nous vêtir plus. Lucile est revenue la dernière, en culotte et en petit débardeur. Sa tenue était très suggestive et de la regarder venir se coucher m'a donné un début d?érection. Elle s?est allongée sur le lit, à la place qu'elle occupe habituellement, et s'est donc retrouvée «*au milieu*». Nous avons encore parlé un peu tous les trois, puis nous avons éteint la lumière pour dormir. La lune nous éclairait un peu, mais tant pis.C'était peut-être le signal qu'attendaient Marie et Nicolas, puisque moins de cinq minutes plus tard, nous avons commencé à entendre des gémissements évocateurs. Les petits couinements de Marie, et les grincements du matelas ne laissaient aucun doute*: Marie se faisait sauter... et elle prenait du plaisir. Déjà, savoir Lucile presque nue à côté d?un quasi-inconnu m?excitait beaucoup. Mais là, les grincements de lit associés à ces râles étouffés m'ont carrément donné la trique. Je me suis collé à ma femme, et j'ai passé une main sous son débardeur pour lui caresser le ventre puis les seins. A sentir ses tétons bien dressés, j'ai compris qu'elle était aussi excitée que moi. Je lui ai murmuré tout bas d?enlever son haut mais elle m'a fait comprendre qu'elle ne voulait pas. J'ai insisté en lui disant que Antoine ne verrait rien et qu'il devait déjà dormir. J'ai continué à la caresser comme elle aime, et après un peu d'hésitation, elle a fini par l?enlever juste après avoir entendu sa copine jouir. Ces gémissements étouffés associés à l'image de Lucile seins nus ont décuplé mon excitation et mon érection. J'ai continué à caresser ses seins qui étaient maintenant libres, la pelotant allégrement. Lucile s'est laissée faire puis s?est tournée vers moi pour m?embrasser langoureusement. J?en ai aussitôt profité pour mettre ma main dans sa culotte et lui caresser les fesses. Cette initiative a du lui plaire, puisqu'elle a aussitôt placé sa cuisse sur la mienne, me laissant un large accès à sa petite chatte. Un de mes doigts s?est aventuré dans son sillon fessier jusqu'à atteindre son intimité que je découvrais trempée. Elle m?a chuchoté que j?étais fou, que Antoine pourrait nous entendre... mais elle ne m?a pas repoussé... et j'ai donc continué. Je voyais bien que la situation l?excitait aussi, mon majeur n'ayant aucune difficulté à glisser dans sa chatte dégoulinante. Tout en nous embrassant langoureusement, j'ai continué à lui procurer du plaisir avec mes doigts.Terriblement excité par la situation et enhardi par l'humidité de ma belle, j?ai entrepris de baisser sa culotte et à ma grande surprise, elle s?est laissée faire. Elle m'a aidé à faire glisser le petit bout de tissu le long de ses jambes et elle s'est retrouvée entièrement nue. Oh putain*!!! Mon c?ur battait fort dans ma poitrine et ma queue me faisait mal tant j'étais surexcité. Lucile était nue à moins de 50 centimètres d?un inconnu, sans vraiment savoir si il dormait ou non. Je continuais à faire courir mes doigts entre ses lèvres et taquinais son clitoris. Elle se collait à moi en ondulant du bassin, cherchant la caresse des mes doigts. Ça devenait difficile de ne pas faire de bruit... Lucile était littéralement trempée. Elle mouillait comme une folle et à plusieurs reprises, elle est venue étouffer un gémissement dans mon cou. Elle s?est alors mise à me caresser par-dessus mon boxer, cherchant frénétiquement ma queue. Je l'ai repoussée doucement en lui faisant comprendre que je cherchais à être nu à mon tour. Lorsqu'elle a senti que je ne portais plus rien, elle s'est collée à nouveau à moi et ses deux mains ont immédiatement enveloppé ma queue pour la décalotter et la branler. Je bandais comme un fou et lorsqu'une de ses mains est venue caresser mes couilles, je n'ai pu contrôler un spasme et un peu de liqueur d'amour a jailli de mon gland. Elle a alors étalé ce pré sperme en me massant la queue du bout des doigts.Nous avons continué à nous caresser de la sorte, donnant chacun des petits coups de illegal bahis bassin, cherchant la pénétration. L'ambiance était lourde d?érotisme. J?avais terriblement envie de la prendre, et je lui ai chuchoté de venir sur moi. Sans la moindre hésitation, et comme si elle n'attendait que ça, elle s'est installée sur mes cuisses. Alors que je lui empoignais les fesses, Lucile s'est empalée sur ma queue. Nous avons savouré ce moment, même si je n'avais qu'une seule envie*: la défoncer. J'ai vu Lucile sourire de satisfaction et, lentement, elle s'est mise à onduler du bassin, faisant coulisser ma bite au fond de sa chatte brûlante. Nos mouvements étaient très lents, pour ne pas faire de bruit et profiter au maximum de ces sensations nouvelles. Nous faisions l'amour à quelques centimètres d'un homme, sans que l'un d'entre nous ait regardé si il dormait. Lucile s'est penchée sur moi et je lui ai empoigné les seins. Elle a étouffé un gémissement de plaisir en cherchant ma bouche. Nous nous sommes embrassés, caressés, et nos mouvements se sont fait plus profond. Nous ne devions plus être très discrets et, profitant de ce que Lucile se redressait, j?ai tourné la tête pour être fixé. Malgré la pénombre, j'ai deviné que Antoine se branlait sous son boxer. Constater qu'il nous regardait depuis tout à l?heure et qu?il voyait Lucile totalement nue se déhancher sur ma queue a fait monter mon excitation en flèche. Je me suis retenu pour ne pas éjaculer. Je n?ai rien dit à Lucile, appréhendant sa réaction, mais vu son degré d'excitation et d'alcoolisation, je lui ai fait signe de tourner la tête. Tout en se baisant sur ma queue, elle a regardé, m?a souri, m?a embrassé et a continué. Nous savions maintenant tous les deux qu?il nous regardait et Antoine avait constaté que nous l'avions vu... et nous nous sommes fait moins discrets.J'ai donné quelques coups de bassin qui ont fait gémir une Lucile qui se cachait moins. Cette situation était terriblement excitante et sans réfléchir, j'ai murmuré à Antoine:- tu peux te mettre à l?aise si tu veux, ce sera plus confortable.Lucile a cessé ses mouvements sur ma queue et m'a regardé. J'ai senti qu'elle était troublée par mon audace mais aux contractions de son vagin sur ma bite, j'ai su qu'elle m'approuvait. Antoine n'a rien dit, mais il a enlevé son boxer, laissant apparaître une bite bien bandée. Lucile a repris ses mouvements de bassin, dansant langoureusement sur ma queue. J'ai vu qu'elle ne quittait pas la bite d'Antoine du regard. La situation était dingue et terriblement érotique. Je faisais l?amour à ma femme devant un homme qui se branlait juste à côté de nous. Lucile devait être dans le même état d'esprit que moi, puisqu'elle s'est soudain raidie et à laissé échapper une exclamation de jouissance... mon bas ventre s'est retrouvé inondée de cyprine et j'ai éjaculé dans la foulée, balançant mon foutre au plus profond de sa chatte palpitante.Ma queue n'a débandé que quelques secondes avant de retrouver toute sa superbe... et sa rigidité. Nous avons alors changé de position, pour adopter celle des petites cuillères. Couchés sur le côté, nous étions face à Antoine. Lucile se caressait un sein, sa bouche ouverte laissant échapper de petits gémissements, et je suis sûr qu'elle regardait avec attention son voisin qui se branlait en nous matant. Mes mouvements de bassin étaient très lents, et je savourais chaque millimètres de pénétration. Lucile m'a agrippé la main qui la tenait par la hanche pour accompagner mes coups de bite. J'ai senti qu'elle désirait quelque chose, et comme elle regardait toujours la queue d'Antoine fixement, je lui ai chuchoté*:- touche la si tu veux...Je l'ai sentie hésitante, mais après quelques secondes, elle a avancé sa main pour la poser sur la queue d'Antoine. Il s'est légèrement tourné vers elle et Lucile s'est mise à le branler lentement. Elle s'est retournée vers moi pour me sourire, puis son regard s'est à nouveau porté sur cette queue qu'elle masturbait. J'ai chuchoté à Antoine qu'il pouvait la caresser... et il ne s'est pas fait prier. Il a d'abord posé sa main sur le ventre de ma femme, puis très vite, il est remonté sur ses seins pour les prendre à pleines mains. Alors qu'elle se faisait peloter langoureusement les seins, Lucile a tourné la tête pour m'embrasser. Ses baisers étaient entrecoupé de petits gémissements, à chacun de mes coups de bite. Antoine s'est mis à genoux, et sa queue s'est retrouvée à quelques centimètres seulement du visage de Lucile. Elle le branlait toujours, décalottant bien son gland luisant d'excitation, et tournait souvent la tête pour m'embrasser. Antoine se rapprochait de plus en plus, jusqu'à ce que son gland frôle ses lèvres. Lucile haletait de plus en plus, bouche ouverte, et sa chatte dégoulinait d'une cyprine abondante. Elle s'est tournée encore une fois pour m'embrasser, comme pour me demander l'autorisation d'aller plus loin. Ce baiser était très langoureux, chargé de passion, et j'ai compris que lorsqu'il prendrait fin, elle allait sucer cette queue. J'ai regardé avec attention le visage de Lucile se tourner et se rapprocher doucement de la bite d'Antoine. La bouche déjà ouverte, elle a sorti sa langue pour parcourir lentement son gland violacé, avant de le prendre en bouche. Antoine s'est montré plus entreprenant, et une de ses mains a quitté les seins de ma belle pour aller caresser son clitoris, tandis que l'autre se posait sur ses cheveux pour lui bloquer la tête. Lucile a relevé et écarté un peu sa jambe pour faciliter cette nouvelle caresse. J'en ai profité pour me redresser et mettre la jambe de Lucile sur mon épaule. Dans cette position, je pouvais la baiser beaucoup plus profondément. Dans le même temps, Antoine s'est mis à lui baiser doucement la bouche. Mes coups de queue faisait un floc-floc bien sonore, preuve que Lucile mouillait comme une folle. J'ai extrait ma queue de sa petite chatte et me suis mis à genoux. Elle n'a pas semblé très satisfaite, puisqu'elle s'est aussitôt exclamée*sur un ton plaintif que je ne lui connaissais pas :- nooon... non mon chéri... remet moi ta bite... j'veux sentir ta queue dans mon garage à bites...Je ne l'avais jamais entendu parler comme ça, mais quand elle a compris que je venais mettre ma queue à hauteur illegal bahis siteleri de son visage, elle s'est installée sur le dos en souriant et m'a saisi la bite avec sa main. Elle regardait alternativement nos deux queues qu'elle branlait et décalottait au même rythme. Elle s'est mise à donner des petits coups de langue, à droite, à gauche, humidifiant nos glands de sa douce salive. Antoine caressait toujours son clitoris tandis que je pelotais ses seins qui avaient incroyablement durcis tant elle devait être excitée. Puis, elle s'est mise à gober nos glands, à tour de rôle, avant de se lancer dans des pipes endiablées. Elle avait faim de queues et salivait copieusement sur nos bites. Elle s'est mise à remuer les hanches, cherchant une pénétration et enfournait nos queues dans sa bouche avec des gémissements de satisfaction.Après quelques minutes de ce traitement, et sentant Lucile surexcitée, je me suis à nouveau installé entre ses cuisses. Elle a relevé un peu la tête pour regarder ma queue que je faisais aller et venir entre ses lèvres trempées avant de se jeter à nouveau sur la queue d'Antoine. Lucile a bien relevé et écarté les jambes, cherchant la pénétration. Sa chatte était trempée, dégoulinante de nos jus intimes. Je faisais glisser ma queue entre ses lèvres et tout naturellement, je me suis mis à lui caresser l'anus avec le bout de ma bite. Elle ne m'avait jamais autorisé cette pratique, mais là, elle s'est laissée faire. J'ai senti que son anus s'ouvrait largement au passage de mon gland et elle s'est mise à gémir de plus en plus. Antoine continuait à faire rouler son clitoris et a commencé à la doigter. J'ai laissé mon gland sur son anus et j'ai bien écarté ses fesses. A ma grande surprise, Lucile s'est mise à donner de petits coups de bassin, cherchant la pénétration. J'attrapais ma queue à pleine main, et forçais sur son petit trou pour la pénétrer. Un long gémissement a suivi cette intromission. J'allais sodomiser ma femme, et j'adorais cette sensation. J'ai poussé sur ma queue pour l'enculer. Lucile a alors échappé au gland qui lui baisait tendrement la bouche pour me regarder et me sourire. Ses petits ahanements montraient qu'elle appréciait la situation, et elle a mis sa main sur mon cou pour m'attirer à elle et m'embrasser. Sa langue avait un goût nouveau pour moi. Elle sentait la queue, mais dans mon excitation, cela ne m'a pas dérangé. Lucile aussi devait aimer ça, puisqu'elle s'est mise à alterner entre ma bouche et la queue de Antoine. Je sentais qu'Antoine avait envie de pénétrer Lucile, mais il n'avait pas de capote. Il s'est mis à la doigter encore plus vigoureusement. Je sentais ses doigts bouger pendant que je sodomisais Lucile. Elle a eu un nouvel orgasme, très puissant. Elle s'est alors mise à sucer Antoine avec plus d'envie encore, léchant sa queue sur tout son long, jouant avec sa langue sur chaque recoin de son gland, gobant ses couilles l'une après l'autre. Elle se caressait le visage avec sa bite avant de l'enfourner au plus profond de sa bouche. Je ne l'avais jamais vue comme ça, aussi salope, aussi avide de queue. - elle est bonne sa bite*?Lucile a fait plusieurs oui rapide avec sa tête avant de lâcher un*:- trèsAntoine s'est alors mis à pistonner la bouche de Lucile, et entre deux coups de queue, il lui a demandé*:- c'est vrai*? Tu l'aimes ma bite*?- Ouiiiii...Comme s'il n'attendait que cette réponse, il a retiré d'un coup sa queue de la bouche de ma femme et a copieusement éjaculé sur sa poitrine. Cette vision m'a fait jouir également, et je me suis déversé dans son cul alors qu'elle étalait la semence qu'elle était en train de recevoir sur ses seins.Puis, sans un mot, nous nous sommes rhabillés et nous avons repris nos places. Nous nous sommes rapidement endormis.Enfin, quand je dis endormis, j'avoue que j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Ce qui venait de se passer m'avait excité au plus haut point, et savoir que Lucile dormait à côté de moi avec le sperme d'un autre sur les seins n'était pas fait pour me calmer. J'ai taché de contrôler ma respiration pour m'endormir, et une petite dizaine de minutes plus tard, j'ai cru y arriver lorsque j'ai senti Lucile remuer à côté de moi.Je l'ai sentie glisser du clic-clac vers le matelas gonflable, mais je n'ai pas bougé et j'ai entendu murmurer*:- t'es fou, qu'est-ce qui te prend...- t'inquiète... il dort... t'as pas envie*?- si... j'ai envie... j'suis super excitée... j'suis bourrée mais super excitée... c'est dommage que Guillaume dorme...Et je les ai entendu discuter encore pendant quelques minutes. Antoine faisait tout pour pouvoir sauter Lucile... qui se défendait de moins en moins bien. Je ne suis pas intervenu pour voir jusqu'où elle allait aller.Antoine s'est mis à se branler devant Lucile, avec un mouvement ample et très lent, décalottant bien à chaque fois son gland devenu très gros.- c'est moi qui te mets dans cet état*?- Oui, regarde comme tu me fais bander... ma queue est toute dure pour toi...- oh putain ça m'excite trop... j'ai la chatte en feu là...- ma bite est à toi...- t'exagères... je peux pas résister à une grosse queue quand j'ai bu... j'ai trop bu... et elle est bien bien grosse ta queue... putain t'as un sacré morceau... oooh... j'suis bourrée...- ben justement... t'as pas envie d'être bourrée*? Tu veux pas t'occuper de ma queue*?- Oooh... c'est pas cool ce que tu fais... tu m'as fait du bien... tu mérites que je te vide tes couilles à fond... - suce moi... J'ai basculé la tête tout doucement et j'ai vu Antoine qui aidait Lucile à enlever son petit débardeur. Elle s'est ensuite reculée pour s'installer entre ses cuisses. J'avais une vue imprenable sur Lucile de côté, sur les genoux, avec la queue d'Antoine dans ses mains. Si sa bandaison était à la hauteur de son désir, il devait sacrément avoir envie de baiser Lucile. De mon côté, si mon c?ur battait la chamade et qu'une boule venait de se former dans mon ventre, ma bite était également bien dressée.A quatre pattes, elle s'est penchée sur sa bite pour la prendre dans sa bouche. Elle a effectué quelques petits mouvements en donnant de petits coups de langue pour goûter sa queue. Antoine lui a mis une main sur la tête pour écarter ses cheveux et accompagner ses mouvements. canlı bahis siteleri Elle s'est mis à l'avaler, la lécher, la titiller. Elle branlait sa grosse queue tout en lui suçotant le gland. Elle se régalait de cette bite et roulait du cul, mimant involontairement une pénétration par derrière.- ça va, je te suce bien*?Je n'en croyais pas mes oreilles. Lucile est une experte de la pipe, et elle demande si elle suce bien*?- putain c'est trop bon... t'es trop bonne... j'ai vraiment envie de te baiser...Comme si elle n'attendait que ce compliment, j'ai vu Lucile sourire et se coucher sur le matelas. Elle a largement écarté les cuisses et s'est mise à se caresser la chatte et les seins. Elle était comme dans un état second et à murmuré*:- viens... viens... je suis trempée...Antoine s'est installé entre ses cuisses, et a laissé son gland reposer sur son clitoris. Il s'est penché sur ma femme, et s'est mis à donner de petits coups de bite.- viens... viens... j'ai envie...- t'en as envie de ma bite*?- Oui, j'suis toute mouillée... putain j'ai la chatte en feu...- voilà... elle est dedans...Et ce disant, Antoine a donné un coup de bassin long, lent et profond, puis il s'est immobilisé pour bien savourer sa pénétration. Lucile a ouvert la bouche pour laisser échapper un râle silencieux et a mis ses deux mains autour de sa taille, pour l'encourager à commencer ses va-et-vient. Il s'est mis à lui donner de grands coups de queue, et elle a rejeté la tête en arrière. De plaisir, elle avait encore une fois la bouche grande ouverte et semblait crier silencieusement. De mon côté, j'ai enlevé tout doucement mon boxer et je me suis caressé la queue en les épiant. Je ne me reconnaissais pas, mais j'étais très excité.Puis, toujours en se déhanchant sur ma belle, Antoine s'est penché vers l'avant, relevant les jambes de Lucile et lui bloquant les genoux au niveau de ses épaules avec ses mains. Dans cette position, j'avais une vue imprenable sur cette queue qui possédait la chatte de ma femme. Elle était écartelée, offerte, soumise à la queue qui la possédait, qui la pénétrait.Entre deux coups de queue, j'ai entendu Antoine murmurer à ma femme*:- elle te plaît ma queue*?- Ooooh...n'obtenant certainement pas la réponse qu'il souhaitait entendre, Antoine s'est mis à donner de plus grands coups de bite. Je la voyais sortir et rentrer dans la chatte de Lucile. Les claquements de bassin ont commencé à vraiment résonner.- elle te plaît pas ma bite*?- Mmm...- t'en as pas envie de ma queue*?- Siii... j'en ai envie... elle est bien grosse... bien dure...- tu veux que je te prenne hein*! T'aimes ça la bite...- ouiii...Ses coups de reins se sont fait de plus en plus secs, et Lucile s'est mise à se tordre de plaisir. Elle a soudain laissé échapper un gémissement montrant qu'elle était en train de jouir. Dans le même temps, Antoine s'est immobilisé et j'ai compris qu'il déversait sa cargaison de foutre dans la chatte de Lucile.Il s'est retiré avec un floc et a approché sa queue luisante vers la bouche de Lucile pour lui donner à sucer. Elle lui a nettoyé la bite consciencieusement, avant de le remercier.Antoine s'est allongé et il s'est endormi instantanément.Lucile a encore un peu caressé sa queue, puis elle est revenue s'allonger à mes côtés. Se lovant contre moi, comme elle aime le faire, sa main est venue flatter ma bite. Étonnée de sentir sa rigidité et de ne pas découvrir de vêtement, elle a quand même saisi l'objet de ses convoitises.- t'as envie de ma queue maintenant*?- Tu dors pas*?- Faut croire que non...Je l'ai sentie se raidir et je l'ai maintenue dans mes bras.- j'sais pas ce qui m'a pris... j'étais bourrée et super excitée... j'avais très envie de me faire mettre... tu dormais... du moins, je croyais... et avec ce qui s'était passé...Je l'ai embrassée tendrement sur le front, puis sur le nez, avant d'atteindre sa bouche. Nos lèvres se sont soudées et nos langues sont allées à la recherche l'une de l'autre, amoureusement, lascivement. Puis, lentement, j'ai fait rouler Lucile sur le dos et me suis installé entre ses cuisses. Nos sexes sont allés naturellement à la rencontre l'un de l'autre, et je l'ai pénétrée tout en l'embrassant.Elle a pris mon visage entre ses mains et m'a murmuré*:- je t'aime... et j'suis encore toute chaude...et elle s'est mise à me pomper la queue avec sa chatte, soulevant et abaissant son petit cul pour mieux se baiser avec ma bite... jusqu'à se faire jouir une nouvelle fois.Puis, entre deux baisers elle m'a chuchoté à l'oreille*:- j'ai envie de te sucer la bite...- Mmm... je croyais que t'étais pas fan...- je l'ai fait à Antoine... j'ai envie... j'ai du sperme sur les seins, plein le cul, plein la chatte... j'en veux aussi plein la bouche...Je me suis alors retiré et lui ai présenté ma bite à sucer. Elle s'est alors mise à me sucer passionnément, me branlant d'une main et me malaxant les couilles de l'autre, aspirant mon gland avant de le téter goulûment. Elle embrassait mon méat et donnait de petit coups de langue. Elle voulait donner le maximum de plaisir à ma queue qui allait lui faire cadeau de sa délicieuse semence. Soudain, elle a senti mes muscles se tendre et s'est préparée à recevoir mon précieux nectar. Lucile a ouvert grand la bouche et a tiré la langue en gémissant. Elle semblait ne pas vouloir perdre une goutte. Et j'ai éjaculé. Un, deux, trois longs jets de sperme épais et laiteux qui sont venu tout au fond de sa gorge. Elle a continué à me masturber tout en avalant, alors qu'un quatrième et un cinquième jets venaient s'écraser sur sa joue et son menton. Elle est alors revenue lécher, gober, sucer, tout le jus qui s'écoulait encore. Après avoir étalé avec ma queue le sperme qui coulait sur son visage, elle est restée plusieurs minutes à téter mon sexe comme un biberon. J'étais bien, et apparemment elle aussi.Puis, elle m'a laché la queue après un dernier baiser sur le bout du gland, m'a regardé et m'a chuchoté avec un tendre sourire alors que je me rallongeais à côté d'elle*:- j'crois que maintenant tu l'as, ta belle salope...Quelques heures plus tard, lorsque nous nous sommes réveillés, Antoine était déjà parti. Nos sourires entendus et gênés révélaient que si nous avions entendu Marie et Nicolas, la réciproque était vraie. Sur la route du retour, Lucile et moi avons reparlé de cette nuit et nous sommes tombés d?accord pour dire que la situation nous avait échappé. Nous avons trouvé ça très très excitant, mais avons convenu que ça n?arriverait plus... enfin normalement...