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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 2 HubertLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 2 HubertLe lendemain, Madame et Marion ayant passé une très bonne nuit ensemble, accueillirent Maîtresse Margot qui arriva accompagnée d'un de ses soumis chargé de deux valises.«Alors, où en est l'esclave?» demanda-t-elle.«Nous ne l'avons pas entendu ce matin en passant devant le placard, peut-être dort-il?» répondit Marion.«Dans ce cas nous allons le réveiller!» dit Margot avec un grand sourire. «Mais auparavant, vous allez revêtir les tenues que j'ai apportées, histoire de l'impressionner un peu plus.»«Pose les valises sur la table, 'Sophie'» ordonna-t-elle au soumis qui s'empressa d'obéir. «Maintenant, rends hommage à ces Dames et va-t-en, je n'ai plus besoin de toi!» 'Sophie' s'empressa de poser respectueusement les lèvres sur les mules de Madame et de Marion et les bottes de Margot puis il sortit sans un mot.«*Il semble très obéissant... mais pourquoi 'Sophie'?*» remarqua Madame.«*Oui, c'est mon soumis presque permanent, masochiste et amoureux de moi, que j'utilise pour un tas de choses... J'adore le faire mettre en tenue de soubrette ou de Sissy d'où le surnom 'Sophie'*! Un claquement de doigts ou un coup de téléphone et il arrive*! C'est assez pratique ? En échange, je m'*'occupe' de lui de temps à autres ...*Autre avantage, il sait rester très discret, vous n'avez pas à craindre qu'il parle à quiconque de vous et de cette maison*!»Une des valises contenait le matériel dont Margot avait parlé la veille, l'autre les tenues que les deux apprenties avaient revêtues lors des séances dans le donjon de Maîtresse Margot.Une fois que Madame et Marion se furent changées et que Margot eut quitté la veste qu'elle portait, les trois femmes étaient assez semblables, bustier de cuir, minijupe de cuir et bottes à hauts talons.«*Je vous donnerai quelques adresses en ville où vous pourrez vous procurer tout ce que vous voudrez en matière de tenues et de matériel pour vous et pour votre esclave. Mes fournisseurs locaux se feront un plaisir de vous procurer tout ce que vous voudrez*!Les trois femmes se dirigèrent vers le placard d'où ne sortait aucun bruit et Marion ouvrit la porte brusquement. Hubert qui n'avait quasiment pas dormi de la nuit, avait entendu le claquement des 3 paires de talons canlı bahis şirketleri sue le parquet, il s'était tassé au fond du placard. La forte lumière succédant à l'obscurité du placard fit qu'il mit quelques secondes à réaliser. Les trois femmes le regardaient, perchées sur leurs talons hauts, chacune avec une cravache à la main*!Sans lui laisser le temps de réagir, Marion lui boucla autour du cou un collier muni d'une courte laisse. Elle tira violemment sur la laisse ce qui le fit sortir du placard et s'affaler sur le parquet aux pieds des trois femmes. Margot en profita pour lui menotter les poignets et les chevilles. «*A genoux devant nous, ESCLAVE*!*» ordonna-t-elle d'une voix sifflante. Se rappelant le traitement qu'elle lui avait infligé la veille, Hubert obéit en se mettant maladroitement à genoux. Marion l'*aida*! d'ailleurs un peu en tirant sur la laisse vers le haut.«*Rends hommage à tes Déesses, ESCLAVE*!*» continua Margot sur le même ton. Hubert ne sachant trop que faire ne bougea pas. «*Mais ...*» commença-t-il à essayer de dire. Margot le coupa sèchement d'un«*Tu lèches le bout de nos bottes comme doit le faire une merde d'esclave comme toi, CRETIN*!*» accompagné d'un coup de cravache sur la joue.Le coup n'était pas très appuyé mais suffisamment douloureux pour qu'Hubert, de peur de recevoir un nouveau coup, s'empresse d'obéir et se penche vers les bottes de la plus proche de ses trois tortionnaires en l'occurrence Margot. «Ta propriétaire d'abord, ESCLAVE, ensuite Maîtresse Marion et moi!» le reprit immédiatement Margot en ponctuant son ordre d'un nouveau coup de cravache sur l'autre joue.Hubert se tourna vers celle qui avait été sa femme et était maintenant celle qui avait sa destinée d'esclave entre ses mains et commença à lécher le bout d'une botte puis l'autre. Un coup de la pointe de la botte qui lui fendit une lèvre lui fit comprendre de passer à la deuxième paire de bottes, celle de Marion. Une secousse sur la laisse et il passa aux bottes de Margot.«*Ouvre la bouche, ESCLAVE*» ordonna celle-ci. Et elle introduisit la pointe de la botte dans la bouche d'Hubert. Marion lui plaqua la tête au sol de sa semelle. Margot appuya sur la mâchoire, la langue et la joue d'Hubert à plusieurs reprises lui arrachant à canlı kaçak iddaa chaque fois un crit. Immobilisé par la semelle de Marion pesant fortement sur sa nuque, Hubert ne pouvait que subir et hurler.Margot retira enfin sa botte de la bouche d'Hubert. «*Tu as de la chance que ta propriétaire m'ait demandé de ne pas trop t'abîmer, sinon je t'aurais écrasé la gueule et fait cracher tes dents, ESCLAVE*». La bouche d'Hubert était déjà bien en sang et lui faisait horriblement mal quand Marion déplaça sa semelle sur sa joue et appuya en la faisant pivoter comme pour écraser un mégot. Hubert hurla à nouveau sous les rires des trois femmes.Marion retira enfin son pied et tira sur la laisse pour redresser Hubert. Une glace placée sur le mur d'en face lui permit de voir l'étendue des dégâts*: joues zébrées, lèvres tuméfiées, bouche en sang*! Il pleurait doucement tandis que les trois femmes le regardaient avec un sourire satisfait sur les lèvres.«*Suis nous ? à genoux*» dit enfin Marion en tirant sur la laisse. Puis elle se dirigea vers le salon sans se préoccuper de savoir si Hubert pouvait suivre. Madame et Margot qui suivaient se chargeaient de le faire avancer à coups de cravache !Arrivées au salon, elles s'installèrent dans le sofa, Hubert à genoux, tête basse face à elles. Margot s'adressa à lui*:«*J'espère qu tu commence à comprendre ta place, tu n'es plus rien, juste une merde d'esclave qui obéit aux ordres de sa propriétaire, de Marion et de toutes les femmes qui daigneront s'adresser à toi. Regarde-moi quand je te parle, ESCLAVE*!*» Hubert leva vers elle des yeux mouillés de larmes.«*Maintenant tu vas te mettre entièrement à poil, c'est la seule tenue qui convient à un esclave.*» Elle s'était levé et placée près de lui. Elle détacha les chevilles d'Hubert. «*Commence par le bas*». Il enleva ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et son caleçon après une hésitation qui lui valut une gifle de Margot ponctuée d'un «*Plus vite, ESCLAVE*!*» Madame et Marion assises dans le sofa n'en perdaient pas une miette, le regardant en souriant ce qui finissait de lui donner un sentiment de honte et d'impuissance. Margot lui remit les menottes aux chevilles. «*Le haut,* vite*!*». elle défit les menottes des poignets le temps qu'il enlève sa chemise canlı kaçak bahis et son T shirt.«*Genoux écartés*! qu'on voie bien ta queue et tes couilles de sale macho...»Tête baissée, toujours sanglotant, celui qui avait été Hubert de ****** devenu l'esclave obéit. «*Oui bof, pas de quoi en faire tout un plat*!*» ricana Margot en soulevant les couilles de l'esclave de la pointe de sa botte. «*Qu'en dites vous, mesdames*?*» «*C'est sûr qu'il y a mieux*!*» dirent ensemble Madame et Marion dans un grand éclat de rire. Margot décocha un coup de la pointe de sa botte dans les couilles de l'esclave qui, en pleurs, se tordit au sol de douleur.Margot le releva avec la laisse, le fit remettre à genoux. Elle se plaça derrière lui, cravache en main. «*Tu vas dire après moi - et écoute bien, je ne le répéterai pas - en t'adressant à Madame et à Marion*: Je suis une merde d'esclave, je vénère toutes les Femmes qui sont mes supérieures, je ne vis que pour les servir, je jure d'obéir aux ordres de Madame, de Maîtresse Marion et de toutes les autres Maîtresses quels qu'ils soient, je remets ma vie entre les mains de Madame*»»Entre deux sanglots, l'esclave répéta les paroles qui le condamnaient définitivement non sans quelques hésitations qui lui valurent des coups de cravache sur le dos.«*Je crois que c'est l'heure d'aller manger*» dit Madame. Marion fit coucher l'esclave sur le ventre et attacha les menottes des poignets à celles des chevilles par un mousqueton. «*Tu ne bouges pas d'ici pendant que nous allons déjeuner, esclave» ordonna-t-elle en lui écrasant les couilles du bout de sa semelle. Les trois femmes se dirigèrent vers la salle à manger. Madame avait pris la précaution de demander à la cuisinière de ne pas venir ce jour-là sous un prétexte quelconque et elle avait demandé à un traiteur de livrer le repas de midi. Le livreur fut assez surpris en voyant la tenue de Marion qui prit livraison. Il eut l'air mal à l'aise et gêné, n'osant pas la regarder en face mais donnant des coups d??il furtifs et admirateurs ce qu'elle nota avec amusement en lui adressant son plus beau sourire enjôleur. «*On aura peut-être une surprise pour toi un jour, mon petit*!*» pensa-t-elle. Elle fit bien rire Madame et Margot en leur racontant la scène. «*Eh oui, s'il a un côté fétichiste et soumis, on pourrait fort bien s'occuper de son cas, à voir ...*» dit Madame. «*C'est assez facile de se rendre compte si on a affaire à un garçon qui a des tendances à la soumission*» ajouta Margot.A suivre ? la suite des malheurs d'Hubert