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LE CHEPTEL DE MADAME chapitre 6 projetsLE CHEPTEL DE MADAME chapitre 6 projetsUne fois arrivées au salon et confortablement installées, elles entamèrent une longue discussion sur les projets de Madame. Elle se voyait bien une nombreuse troupe d'esclaves permanents supervisés par Marion et affectés à diverses tâches dans la maison, à l'extérieur et au service des Maîtresses. Pour les loger les caves suffiraient au début puis la rénovation d'anciennes écuries situées un peu à l'écart réglerait le problème. Des esclaves et soumis occasionnels pourraient aussi être admis à servir.Les idées fusaient...«Je me verrai bien amener certains de mes soumis au domaine pour des séances innovatrices par rapport à celles que je pratique dans mon donjon.» dit Margot .«Il faudra trouver des fers comme ceux que portaient les bagnards.» dit Marion. «Des esclaves poneys humains voilà qui me plairait. Ça me rappellerait le temps ou je pratiquais l'équitation.» dit Madame. De toute façon, faudra recruter des nouveaux esclaves, un seul c'est peu.»ajouta-t-elle.«Une annonce sur les sites de rencontre spécialisés d'internet devrait résoudre facilement ce problème. Il y a au moins dix fois plus de demandes de soumis que d'offres de dominatrices.» fit remarquer Margot.La suite de la discussion porta sur les termes de l'annonce à poser. On finit par arriver à une rédaction satisfaisante*: Tu es soumis ou maso, tu cherches désespérément une Maîtresse, ne cherches plus, Madame Claire t'attends dans son Domaine de ********. Madame Claire et son aide Marion sont des Maîtresses non professionnelles mais fort capables de donner vie à tes désirs secrets et bien plus encore. Envoie ta candidature avec tous les détails que tu jugeras utiles de donner sur toi et tes motivations accompagnée d'une photo et d'un numéro de téléphone à cette adresse*: Madameclaire@*****.com. Si ta candidature nous intéresse nous prendrons contact avec toi. L'annonce fut aussitôt posée sur plusieurs sites.«Voila une bonne chose de faite» dit Madame. «*J'aimerais bien aussi qu'on essaie de voir ce qui est possible du côté du livreur que tu as fort impressionné l'autre jour, Marion*!*»«*Je prospecterai aussi de mon côté.*Il y a certainement des soumis qui ne fréquentent akdeniz escort nos donjons pour une raison ou pour une autre.*»*» dit Margot avant de repartir.Claire et Marion passèrent une partie de la soirée à consulter les sites de vente spécialisés BDSM pour passer des commandes de matériel et de vêtements.Le lendemain, Marion alla chercher Hubert dans sa cave lui ôta sa cagoule et l'amena à la cuisine. Madame s'y trouvait déjà, assise à table. Il se précipita à ses pieds pour embrasser longuement ses mules puis fit de même avec celles de Marion.*»Prépare nous un petit déjeuner, esclave thé, tartines, beurre confiture, jus d'orange, ?ufs, jambon» commanda Madame qu iappréciait ce style à l'anglaise..Trop heureux d'être libéré d'une partie de ses entraves, soulagé de voir que Margot n'était pas là, il s'empressa de préparer le petit déjeuner commandé. Il apporta le tout à table et reçut l'ordre de se placer à genoux, tête en arrière, bouche largement ouverte entre Madame et Marion.Durant tout leur petit déjeuner, les deux femmes s'amusèrent à jeter dans la bouche de l'esclave des morceaux de tartines mâchées, des bout de gras, des morceaux d'oeuf etc. Le jeu était de piéger l'esclave qui devait tenter de tout att****r au vol, il en manqua un bon nombre qui jonchèrent le sol autour de lui.Marion voulut lui verser une partie de son jus d'orange dans la bouche mais manqua intentionnellement la cible et le jus poisseux coula sur le menton, la poitrine de l'esclave et le sol.«*Non mais quel porc*!*»s'exclama Madame à la fin du repas. «*récupère tout ce qui traîne par terre avec les dents». Les deux femmes s'ingénièrent bien sûr à lui compliquer la tâche piétinant les morceaux devant son nez de leurs mules.Lorsqu'il eut enfin terminé de tout ramasser, de lécher le jus d'orange, et que le sol fut à peu près propre, Madame dit*«*Maintenant, allonge toi et nettoie nos semelles et nos talons avec tes dents et ta langue, à cause de toi ils sont pleins de bouts de ta nourriture collés*».Assises sur leur chaises, elles lui présentèrent leurs semelles à nettoyer et leurs talons à sucer. Il devait sans cesse aller de l'une à l'autre. Une semelle écrasait parfois sa bouche tandis que sa langue mezitli escort tentait de la lécher. Un talon se vrillait aussi parfois dans son ventre et sur son bas ventre.Lorsqu'elle jugèrent que le travail était fini, Madame dit «*Passons à ton cadeau du matin, esclave. Elle le fit placer à genoux au milieu de la cuisine. Les mains tenant ses chevilles, la tête en arrière, la bouche grande ouverte comme elle avait vu faire sur des vidéos internet. Elle ôta sa culotte, remonta sa nuisette et vint placer sa chatte sur la bouche offerte. «*Attention, avale tout sinon il t'en cuira*!*» Elle commença à se soulager à petits jets que l'esclave avalait du mieux qu'il pouvait sans toutefois empêcher qu'une partie coule à côté. Marion fit ensuite de même.Elles obligèrent l'esclave à lécher tout ce qui avait coulé au sol. «*Tu devras apprendre vite à tout avaler, sinon la punition sera sévère, esclave toilette*» conclut Madame. Se souvenant de l'épisode du placard, l'esclave s'empressa de remercier ses deux Maîtresses pour la nourriture et la boisson offertes. Toutes deux eurent un sourire satisfait de cette réactions et la servilité d'Hubert pendant tout le repas. «*Si tu obéis bien, si tu ne nous contrarie pas, ça ne se passera pas trop mal pour toi, mais gare à la punition terrible dans le cas contraire.*» commenta Madame.Puis changeant de sujet elle s'adressa à Marion «*Dis moi tu ne trouves pas qu'il pues et qu'il colle de partout notre Hubert*? Un petit lavage lui fera le plus grand bien*!*»Hubert se tortillait depuis un moment n'osant parler selon la consigne reçue. «*Qu'est ce que tu as à te tortiller comme un ver depuis un moment*? » Questionna Marion. «*Pardon Maîtresse, j'ai un gros besoin pressant, est-ce que vous m'autoriser à aller aux toilettes*?*» demanda-t-il piteusement Les deux femmes partirent d'un grand éclat de rire. «*Ah c'est ça*! Allez viens, c'est mon jour de bonté...*mais les chiens ne vont pas aux toilettes, ils chient dehors » finit par dire Marion. Elle lui mit la laisse à son collier et l'entraîna à 4 pattes vers la porte de sortie de la maison suivie par Madame hilare. «*allez chien, fais ce que tu as à faire*» dit Marion après l'avoir entraîné au pied d'un bouquet yenişehir escort d'arbres. Hubert s'exécuta horriblement mortifié devant ces deux femmes qui le regardaient. Il termina en traînant ses fesse dans l'herbe pour se nettoyer comme il put. «*La prochaine fois, nous irons plus loin, chien mais en attendant, la douche promise.*» dit Marion une fois son fou rire calmé. Elle le traîna toujours à quatre pattes près d'un mur, le fit mettre debout face au mur, ramassa le tuyau d'arrosage un peu plus loin et ouvrit l'eau. Le jet à pleine puissance vint frapper la peau de l'esclave. Il ne faisait pas froid heureusement mais l'eau lui parut glacée. Marion prit tout son temps insistant particulièrement sur la raie du cul. «*Bon tu as le cul propre, tourne toi, mains sur la tête*» Et l'arrosage du côté face commença, Marion insistant spécialement sur les couilles et la bite qui se recroquevillait sous l'effet du froid. «*On dirait que ton petit machin n'aime pas l'eau froide*» ricana Madame qui assistait à la scène un peu plus loin. Marion ferma l'eau et entraîna Hubert grelottant à l'intérieur. «Pour te réchauffer tu vas nettoyer la cuisine entièrement et je veux que tout soit nickel, tu as une heure*!*» Chevilles et poignets menottés ne facilitèrent pas la tâche de l'esclave qui fit de son mieux pour rendre la cuisine impeccable. Marion assistait assise dans un coin à ses efforts ménagers. Au bout de l'heure, elle se leva et commença une inspection minutieuse. Si en elle même elle reconnaissait que le travail était très correct, elle trouva à redire à plusieurs endroits. «*Humm, pas très net ici, finis le travail avec ta langue*!*» Hubert s'exécuta.Son inspection terminée, Marion le fit mettre à genoux devant elle. «Regarde moi, tu as à peu près bien travaillé pour une souillon peu habituée à ce genre d'ouvrage, je suis presque satisfaite*, va te mettre à genoux sur le manche à balai dans ce coin*!*». elle ponctua cette appréciation d'une paire de gifles bien appliquée.Hubert après l'avoir remerciée de sa bonté, fila dans le coin désigné, se plaça à genoux sur le balai face au mur. «*Ecarte les genoux*!*» Marion attacha les genoux sur le balai avec des cordes, relia les poignets et les chevilles par une chaînette. Elle caressa les boules offertes de l'esclave du bout de sa chaussure. «*A tout à l'heure, esclave...*» Elle décocha un coup de pied dans les boules de l'esclave qui poussa un glapissement aigu et elle sortit.A suivre ... Le cheptel de madame chapitre 7 Pierre